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C'est dans la rue que nos regards se sont croisés pour la première fois. Le pire, c'est que j'ai failli ne pas te voir ce jour là. Trop occupé à ressasser mes soucis du moment. En un instant, j'ai cessé d'y penser. Il venait juste de me quitter, j'évoluais dans un brouillard épais. Nos regards se sont accrochés. Un fil tendu entre eux. Quelques secondes de plus que la normale. Il a fallu que je me retourne, tu étais en train de me regarder, un léger sourire aux lèvres. Je me suis arrêté et tu es revenu vers moi. Très vite, nous nous sommes retrouvé chez toi. Ton corps nu me faisait chavirer tandis que toi, tu t'émerveillais du mien. Pendant des heures nous nous sommes enlacés, embrassés, caressés, nos sexes emprisonnés dans nos boxers respectifs. Nous avons retardé le plus possible le moment de la découverte ultime. Ma main a glissé entre la peau de ton ventre et l'élastique de ton boxer. J'ai senti le crépitement de tes poils sous mes doigts. Très rapidement mes doigts ont effleuré ton sexe épais, très tendu, chaud. Je suis tout à coup devenu impatient. Je l'ai libéré de ton boxer. Épaisses, lourdes, tes testicules reposaient sur tes cuisses. Avant même de te masturber, ma langue s'est affairée à lécher ces boules délicieuse, à remonter le long de ta tige, à avaler le plus possible ton sexe impressionnant. Tu as joui très rapidement à ce moment là. Cet épisode était le début de notre première journée ensemble, de notre première nuit. Une des plus torrides. Mémorable.
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Combien de fois chacun d'entre nous a dû se retourner pour regarder si celui apprècier dans la rue le fera aussi. Hélas peu nombreux sont ceux à pouvoir raconter une même fin.
RépondreSupprimer4e Photo : Lyon, Métro Cordelier
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